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Bla-bla-bla, Coffre… Bla-bla-bla, Magie… Bla-bla-bla, Gâteaux…
Coffre. Magie. Gâteaux. Les quelques mots qu’il percevait le faisaient frissonner. Il observa un peu mieux les protagonistes à la recherche de petits détails, de ceux qui lui permettraient d’en savoir plus sur ces gens qu’il n’avait jamais vus auparavant. Leur allure ne laissait planer aucun doute, ils n’étaient pas de la région. L’état de leurs chausses laissait supposer qu’ils avaient beaucoup marché avant d’arriver en bordure des terres centrales. Les traces de boue et d’herbes sur leurs vêtements usés indiquaient clairement qu’ils avaient passé quelques nuits à la belle étoile avant de trouver cette cité tranquille. Ils avaient l’air d’avoir bien roulé leur bosse avant d’atterrir ici. Il ne pouvait donc s’agir que d’aventuriers. Bien évidement. Le Chevalier Gourmand devait absolument en savoir plus. Rapidement. Prudemment. Mais quel stratagème adopter sans commettre d'erreurs ?
<!-- options --!>\
$fleche_1 [[Observer attentivement la salle.]]
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$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]
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]
Il n'a pas trouver la fille. fin moyenne.
il est passé par l'écurie et la potion a été changé et est innéficace
[(display: "Bas de page #1")]Il a trouvé son compagnon de route, son épée est magique et il part à l'aventure...(set: $time = $time +1)\
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]}\
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Un regard alentour rapide sur la configuration des lieux lui donna une idée.
- Aubergiste, servez moi donc la même chose, dit le Chevalier en tapant sur le comptoir avec son doigt.
- Bien sûr Chevalier, répondit l’aubergiste en tournant les talons.
Une fois l’aubergiste de dos, le Chevalier Gourmand glissa discrètement sur le tabouret à sa droite. Tabouret légèrement plus proche de la table qui l’intéressait. Juste ce qu’il fallait pour mieux entendre.
[(display: "Trio A")]\
Malgré le bruit ambiant, de sa nouvelle place, le Chevalier Gourmand ne manquait aucun mot. Le grand gaillard hypnotisait les autres avec son histoire.
- C’est à ce moment-là, dans un dernier souffle, que le type me dit « C’est dans la montagne, juste au-dessus de mon village ! »
- Et alors ?! Interrogèrent les deux autres !
- Et alors, et alors, je n’avais pas que ça à faire. On était en plein combat et j’ai entendu du bruit derrière moi ! Oui. Comme un énorme craquement. Je me redresse, d’un coup, et je vois un énorme adversaire levant une immense hache à deux mains au-dessus de ma tête ! Un monstre immonde, recouvert de poils, avec de l’écume aux bords des lèvres. Ses yeux étaient rouges de colère. Ni une ni deux, j’empoigne mon épée et d’un mouvement circulaire je tranche le manche de sa hache.
- Et alors ?! Interrogèrent les deux autres en se rapprochant légèrement de leur camarade !
- Et alors, et alors, le monstre immonde fût tout surpris, il regarda avec un air idiot ses grosses mains tenant ce qu’il restait de manche de sa hache.
- Et alors ?! Interrogèrent les deux autres, en se rapprochant encore plus de leur camarade !
- Et alors, et alors, j’en ai profité pour me carapater. Je n’allais pas rester là et attendre qu’il me piétine. Mais c’est là que j’ai vu que le type à côté de moi n’était pas vraiment mort. Il a eu la force d’attraper son épée et, coucher sur le dos, de pourfendre le monstre poilu.
- Et alors ?! Interrogèrent les deux autres en continuant de se rapprocher les yeux tout écarquillés !
- Et alors, et alors, le monstre fit un drôle de bruit, comme un ballon qu’on avait percé et qui se vidait de son air en faisant un son strident. Psssssssiii…. J’ai vu le gars se relever d’un coup et partir en boitant dans la direction opposée à la mienne. C’est là que j’ai perdu sa trace.
- Rho lâchèrent les deux autres en se laissant tomber sur le dossier de leur chaise. Ben dit donc. Sacrée histoire.
À ce stade, le Chevalier Gourmand n’était pas plus avancé. Il n’avait pas assez d’éléments pour tout comprendre. Il lui fallait un peu plus d’informations. Leur parler directement, bien que légèrement frontal, serait certainement la meilleure solution. (if: $observerlasalle > 0 and $approchefrontale is false and $forestier is 1) [Mais peut-être pouvait-il prendre le temps de jeter un oeil rapide sur l'inconnu tapis dans l'ombre de son alcove.] Le jeune prétendant à l'aventure se grattait la tempe droite, c'est ce que l'on fait lorsque l'on réfléchit et que l'on n'a pas de barbe à tripoter. Sa concentration n'était pas facile, d'autant moins que la salle était de plus en plus bruyante...
$fleche_1 [[Observer la salle->Observer attentivement la salle.]]
$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]
(if: $observerlasalle > 0 and $approchefrontale is false and $forestier is 1)[$fleche_1 [[Observer l'inconnu.]]<br> ](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 2 and $ecurie is true and $alcove is false)[$fleche_1 [[Retourner à l'alcove->L'alcove.]]<br>](else:)[<nobr>]\
[(display: "Bas de page #1")]
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(if: $singe > 0 and $aubergiste is 0)
[ \
Après une légère hésitation, le choix du jeune Chevalier fût clair et raisonné. La garde était là pour résoudre ce genre de petit soucis, et si malhonnêteté il y avait, il serait toujours temps de rendre justice une fois le forfait accomplit.<br>
] \
(if: $time is 1 or $time is 2)
[ \
Aucun temps à perdre, le choix fût clair et rapide, il fallait être frontal. <br>
] \
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[ \
La chose était trop tentante, il lui faillait parler à ces gens.<br>
] \
(if: $forestier is 2 and $singe < 2)
[ \
Chercher cet inconnu serait une perte de temps, l'histoire des 3 aventuriers valait bien mieux que de courir après une ombre. Notre jeune héros avait une idée.<br>
] \
(if: $forestier is 1 and $singe > 0)
[ \
Il décida donc, en son âme et conscience, de se focaliser sur l'opportunité qui s'offrait à lui, et de manière frontale.<br>
] \
- Aubergiste, dit le Chevalier Gourmand en tapant du plat de la main sur le comptoir, servez moi donc la même chose, et la même chose pour ces trois gaillards, c’est moi qui offre.
- Bien sûr Chevalier, répondit l’aubergiste, en tournant les talons. Et 4 laits fraise. 4 !
Le Chevalier Gourmand descendit de son tabouret et s’approcha de la table des trois gaillards qui étaient plutôt surpris par l’allure du Chevalier. Tout autant que par son généreux cadeau et le choix des boissons.
- Messieurs, dit le Chevalier, j’ai entendu un bout de votre conversation et je dois dire que je suis perplexe.
- Vous êtes le père Plexe ?! dit le premier
- Vous êtes père ?! Dis le deuxième.
- À votre âge ?! lâcha le troisième.
- Ha, mais non, je suis perplexe, cela veut dire tout préoccupé, tout pensif. Par ce que j’ai entendu.
- Et vous avez entendu quoi ? demanda le Grand Gaillard à la cicatrice.
- Disons qu’entre deux bruits étranges, mais néanmoins rigolos, j’ai entendu les mots Coffre, Magie et Gâteaux.
- Mmmmm firent les 3 personnages un peu louches tout en échangeant des regards circonspects.
- Et ? interrogea le grand gaillard à l’épiderme tanné.
- Et j’aimerais en savoir plus sur ce coffre magique et ces gâteaux, chuchota le Chevalier Gourmand les yeux écarquillés.
- Pourquoi cela, demanda celui des trois qui avait le visage le plus souriant.
- Je me disais qu’il y avait là une belle quête à faire pour un chevalier.
- Une quête ? s’étonna celui des trois qui avait un très gros nez tout rouge.
- Oui, retrouver un coffre magique rempli de gâteau. Voilà une belle aventure en perspective.
Les 3 compagnons un peu louches échangèrent quelques regards complices. C’est à ce moment-là que l’aubergiste rompit le silence qui s’installait. Il déposait au centre de la table 4 gros gobelets de bois remplis de lait fraise… Boum ! Éclaboussant légèrement les 4 clients.
- Et voilà… 4 bons laits fraise. Ça fait 4 pièces d’argent !
Fouillant le fond de sa bourse, le chevalier gourmand repris la parole.
- Messieurs, m’en diriez-vous plus sur l’emplacement de ce coffre magique ?
- Ha, mais c’est qu’on ne peut pas vous livrez un tel secret. Dis celui à la cicatrice.
- Mais pourquoi ? demanda le Jeune Chevalier ? en portant sa pinte de lait fraise à la bouche.
- Parce que c’est une grande responsabilité. Dis celui au très gros nez rouge.
- Mais pourquoi interrogea le Chevalier Gourmand !
- Parce que c’est un endroit extrêmement dangereux précisa celui au visage souriant !
- Mais justement s’excita le Chevalier en trépignant sur son siège ! Dites, dites !
Les trois gaillards s’échangeaient des regards qui en disaient long pour qui savait les lire. Le Chevalier Gourmand, lui, en avait une perception… différente.
- fffff… Je ne sais pas si l’on pourra assumer de vous envoyer vers un destin qui pourrait vous couter la vie. Opina celui à la cicatrice.
- Mmmmm… ponctuèrent les deux autres.
- Messieurs, je vous dégage de toute responsabilité. Je suis un Chevalier, je suis responsable de mes choix. Personne n’a à assumer ce que je fais, ce que je dis. Mes actions sont… Mes actions.
- Évidement, messire. S’empressa de rajouter celui au très gros nez rouge. Évidement.
- Alors dites, insista le Chevalier Gourmand !
- Écoutez Chevalier, dit celui à la cicatrice avec un air très sérieux, ce coffre est gardé par un… Par un… Par un Dragon !
Les yeux du chevalier gourmand s’écarquillèrent comme jamais ! Un frisson parcourut sa colonne vertébrale. Pas un frisson de peur. Nullement. Un frisson dû à l’envie. Un dragon ! Une quête avec un dragon ! Il était bouche bée.
- Messieurs, je comprends vos inquiétudes, mais eu égard à mon rang, mon statut, vous pouvez bien sûr avoir peur pour moi, mais moi, je n’éprouve aucune peur ! Je vous rappelle que je suis chevalier ! Dis le chevalier, convaincu de son propos. Alors je vous le demande, avec insistance, donnez-moi une piste, un nom, un village pour commencer ma quête. Et je vous en serai redevable.
- Bien, dit le Grand Gaillard à la cicatrice en reposant sa chope de lait fraise et en s’essuyant la moustache. Il faut que nous en discutions entre nous. Vous comprenez, il est tout de même question d’un dragon terriblement terrible et d’un coffre bourré de magie. Ce n’est pas une mince affaire. Et puis, il faut que l’on soit d’accord sur la trahison d’un tel secret. On ne peut pas faire confiance au premier venu sous prétexte qu’il nous affirme être chevalier.
- Mais je suis Chevalier ! gronda le Chevalier Gourmand en se levant de son siège.
- hffff… Vous en avez effectivement tout l’air, s’empressa de calmer le gaillard au visage souriant. Mais comprenez qu’il y a 5 minutes nous ne nous vous connaissions pas. Nous avons fait beaucoup de route, nous sommes fatigués et nous devons prendre une décision en nous concertant. En réfléchissant. Pour être bien d’accord.
Le Chevalier prit un air grave et, tout en restant debout, dit :
- Bien. Je comprends tout à fait. Vous êtes une équipe, une décision doit se prendre en équipe. Si j’avais une équipe, et un jour, j’en aurais une, j’aimerais que les choses se passent comme cela. Je vais donc m’éloigner et vous laisser discuter. Faites-moi signe quand vous avez pris votre décision.
Les 3 gaillards l'observaient s’éloigner en s’échangeant des regards interloqués. Ils n’en revenaient pas. Le Chevalier Gourmand, lui, se demandait comment il allait leur tirer les vers du nez (if: $ombre is 0)[lorsque son oreille fût titillée par le grincement de la porte d'entrée](else:)[ Se faisant, il pouvait prendre le temps de regarder ce qui se jouait dans la rue noire.]...
(if: $singe > 0 and $time > 2)[(display: "Inconnu ou singe")]\
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$fleche_1 [[Observer le conciliabule de loin.->Observer le trio.]]
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(if: $singe is 2 and $aubergiste is 0) [$fleche_1 [[Informer l'aubergiste à propos du singe.->Conseils aubergiste.]]<br>](else:)[<nobr>]\
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[(display: "Bas de page #1")](set: $time = $time +1)\
Il n'était pas aisé de se rapprocher discrêtement pour tenter d'écouter la conversation. La chose était même plutôt délicate. Si les bougres s'en appercevaient, ils pourraient le prendre mal, ils pourraient mettre fin à la conversation et alors terminé l'aventure. Notre jeune intrépdide pouvait-il prendre ce risque ?
$fleche_1 [[Prendre le risque d'écouter.]]
$fleche_1 [[Ne pas prendre le risque d'écouter.]]
[(display: "Bas de page #1")](if: $image is 1)[ (print: '<img src="' + $imgPath + '2.jpg" width="100%">')]
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(if: $forestier is 0 and $time is 1)[(display: "Auberge A")](else-if: $approchefrontale is false and $singe is 0 and $ecurie is false)[(display: "Auberge B")](else-if: $approchefrontale is false and $ombre is 0)[(display: "Auberge C")](else-if: $approchefrontale is false and $singe is 0 and $ecurie is true)[(display: "Auberge B")][<nobr>]\
(if: $approchefrontale is true and $ombre is 0)[(display: "Auberge C")](else-if: $approchefrontale is true and $singe is 0)[(display: "Auberge B")][<nobr>]\
(if: $observerlasalle > 3)[(display: "Auberge D")](else:)[<nobr>]\
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(if: $singe is 2 and $aubergiste is 0) [$fleche_1 [[Informer l'aubergiste à propos du singe.->Conseils aubergiste.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 2 and $ecurie is false)[$fleche_1 [[Aller aux écuries.->Continuer jusqu'aux écuries.]]<br>]\
(if: $approchefrontale is true and $singe > 0)[$fleche_1 [[Informer l'aubergiste->Conseils aubergiste.]]<br>]\
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[S’approcher du trio sans éveiller les soupçons.]]<br>]\
(if: $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>]\
(if: $forestier is 0 and $ecurie is true and $alcove is false and $time < 4)[$fleche_1 [[Retourner à l'alcove->L'alcove.]]<br>]\
[(display: "Bas de page #1")](if: $time is 2)
[ \
L'aventure n'a que faire des hésitations. Sautant de son tabouret, notre apprenti se diriga droit sur ces nouveaux amis.<br>
] \
- Meffieurs, me me faites mas manguir ! Me mous émoume. Marmonna le Chevalier en se rapprochant de la table.
- Hein ?
- Ne me faites pas languir dit le chevalier en déglutissant, je vous écoute.
- Chevalier, nous n’allons pas vous faire languir. Hein les gars, dit le bavard à la grande cicatrice.
- Ha ça non. S’il y a un truc que nous n’allons pas faire, c’est vous faire languir, rajouta celui au gros nez.
- Ce n’est pas notre genre, renchérit celui qui souriait tout le temps.
- Mmmmm, enfin, je me souviens tout de même que nous avions fait languir Tarpan. Vous vous souvenez ? interrogea le bavard.
- Tarpan ?! Lâcha surpris gros nez.
- Tarpan !! Confirma le souriant en donnant un coup de coup à gros nez. Le grand là…
- Ha ouiiiii… Tarpan ! Le cuisinier du 6e régiment des gardes du Nord.
- Ha ha ha ha… gloussèrent les 3 mercenaires en se tapant sur les cuisses…
- Celui qui avait finis dans la rivière avec son sac rempli de pierres…
- haha s’égosillaient les 3 dans un rire forcé…
Le Chevalier les regardait, figé. Pendu à leurs rires. Ils allaient la lâcher leur décision…
- Bien, Dis solennellement le plus costaud. Celui à la cicatrice. Avec mes camarades, nous avons pris une décision. Nous savons, pour en avoir fréquenté beaucoup, que les Chevaliers sont sans peur. Combien en avons nous vu, fendant les rangs ennemies sur les champs de bataille à grand coup d’épée. Le regard toujours haut. Et malgré votre jeune âge, chevalier, on voit déjà que votre regard ne baissera jamais. Ouiiii… Chevalier… On sent en vous ce potentiel de légende.
Au fur et à mesure des mots, le torse du chevalier gourmand se dressait. Son regard se levait. Il se voyait pourfendant dragons et fouillant donjons.
- Mes camarades et moi avons décidé de vous indiquer le lieu où débute la quête. Cela ne va pas être facile. Parce que nous avons très peu d’éléments. Mais nous allons vous indiquer où trouver quelqu’un qui va vous aider. Si vous voulez trouver le coffre magique, Chevalier, celui protéger par le dangereux dragon, il vous faut aller à Minas Zabolam. Un petit village du sud.
- Du sud du sud des Terres Centrales, précisa celui au gros nez rouge.
- Au sud du sud des Terres Centrales en effet.
- Minas Zabolam, répéta doucement le Chevalier Gourmand. Au sud du sud des Terres Centrales… Les yeux écarquillés. Minas Zabolam. Il voyageait déjà…
- Une fois Minas Zabolam atteint, vous chercher… Le forgeron !
- Ouiiii, le forgeron ! Appuya celui au visage souriant. Il faut trouver le forgeron !
Trouver le forgeron de Minas Zabolam. Parfait. Nota dans un coin de son esprit le chevalier gourmand.
- Dites-lui que vous venez de notre part. Moi c’est Pickles mais on m’appelle « Pick » dit celui à la cicatrice.
- Moi c’est Nicolas mais on m’appelle « Nick » dit celui au large sourire
- et moi c’est Gaspard mais comme je suis douillé, on me nomme… la « Douille » dis celui au gros nez.
- Pick, nick, douille… répéta le Chevalier pour mémoriser. C’est noté. Messieurs, je saurais me souvenir du geste que vous avez fait. C’est promis. Dis le Chevalier en quittant la table.
L’ambiance de l’auberge ce soir là était bonne. Meilleure que d’habitude dans les yeux du Chevalier Gourmand. Il se dirigea vers la sortie et passant près du comptoir attrapa deux madeleines.
- Aubergiste, je passerais peut-être demain prendre des provisions pour partir en aventure.
- Bien Chevalier.
- Mettez-moi quelques madeleines de côté. J’en aurais bien besoin. Là où je vais, pas sûr qu’ils en aient d’aussi bonnes…
Le chevalier gourmand poussa la porte, la nuit était belle. Il contempla le ciel et sourit en se disant qu’il allait vivre autant d’aventures qu’il y avait d’étoiles.
Les 3 gaillards n’en revenaient pas de la naïveté du Chevalier. Ils en riaient. Ils en riaient fort. Ne se doutant pas un seul instant que dans un recoin sombre de l’auberge, quelqu’un n’avait rien perdu de cette conversation.
[(display: "Bas de page #1")]Double-click this passage to edit it.(set: $forestier = $forestier +1)\
<b>Auberge A (forestier)</b>
Prendre un peu de temps pour analyser la situation n'était pas une mauvaise idée. L’avantage d’une auberge placée sur une route très passante, quand on aime l’aventure mais que l'on est encore jeune, c’est qu’il y a de quoi voyager sans quitter le comptoir. Il suffit de poser ses yeux sur un groupe de voyageurs et d’imaginer. D’imaginer d’où ils viennent et où ils vont. L'allure générale mais aussi les détails vestimentaires indiquaient beaucoup. La qualité des tissus, mais aussi leur état. Et que dire des couvre-chefs... Le couvre-chef, c’est le chapeau... Il en disait beaucoup. Le Chevalier Gourmand était particulièrement habile dans l'analyse de ces éléments qui pour la majorité étaient insignifiants. Même si son appétit pour l'extraordinaire lui jouait parfois des tours.
De sa position, non content de voir le trio, il avait une vue large sur la salle et ses occupants. C'est pour cela qu'il se mettait le plus souvent au comptoir. Il pouvait observer.
(if: $observerlasalle is 1)[(display: "Ambiance auberge")<br>]\
Si beaucoup étaient concentré sur le spectacle, ou leurs propres affaires, dans un coin plus sombre, légèrement à l'écart, un homme encapuchonné semblait, lui aussi, observer tout le monde. Qui était-il ? Que cherchait-il ? En avait-il lui aussi après le trio ? Est-il au courant de quelque chose ? Etait-il sur le coup ? Le jeune Chevalier Gourmand fût pris d'un doute. S'il perdait du temps à s'intéresser à cet homme mystérieux, il louperait certainement des informations sur l'histoire du trio. Bon sang, c'est aussi ça l'aventure, être face à des choix cornéliens...
(set: $singe = $singe +1)\
<b>Auberge B (singe)</b>
(if: $forestier is 4 and $time is 4)[(display: "Inconnu A")
Oubliant qu'il avait prévu de passer par les écuries, le Chevalier Gourmand retourna à sa place. ]\
De sa nouvelle position, il n'avait qu'une vue parcellaire sur la pièce principale et ses occupants. Mais ce n'était pas grave, il pouvait observer l'essentiel.
(if: $observerlasalle > 0 and $forestier is 0)[(display: "Ambiance auberge")<br>]\
Le musicien passait de table en table en quête de rémunération. Il était de bon ton de remercier les saltimbanques en déboursant quelques pièces. Cela lui payait au miniumum le repas, et au mieux une nuit à l'auberge, lui évitant de dormir sous un porche avant de reprendre la route le lendemain. S'il ne jouait pas très juste, cet artiste avait quelque chose de captivant. Il attirait tous les regards avec sa drôle de chorégraphie. Tous sauf ceux des trois gaillards qui n'étaient intéressés que par leur fascinante conversation. Et peut-être aussi le petit singe assis sur le rebord de l'une des fenêtres. Lui ne regardait pas vraiment son maître. Sa petite tête effectuait de rapides mouvements, passant d’un client à l’autre, les examinants des pieds à la tête, lâchant de temps en temps un petit cris strident. Les spectateurs souriaient, applaudissaient et buvaient joyeusement. Pour qui était observateur, la question se posait. Pourquoi ces gens réagissaient-ils pareillement à une musique si médiocre ?
Le jeune Chevalier Gourmand fût pris d'un doute. S'il perdait du temps à s'intéresser à ce bateleur et son animal, il louperait certainement des informations sur l'histoire du trio. Mais tout de même, il y avait là quelque chose de surprenant. Et s’il s'agissait d'un charmeur doublé d’un détrousseur ! Il ne pouvait laisser faire cela sur son territoire. Il lui fallait intervenir… Mais en était-il si sûr ? Il n’avait aucune preuve si ce n’est son intuition. Que faire ? Bon sang, c'est aussi ça l'aventure, être face à des choix cornéliens…\
<!-- (if: $ombre is 0 and $time > 2) [Comme si cela n'était pas suffisant, voilà maintenant qu'un courant d'air froid pénétrait l'auberge, imposant un silence pesant.]\
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(if: $detournerlattention is true and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\ --!>
(set: $ombre = $ombre +1)\
<b>Auberge C (ombre)</b>
(if: $approchefrontale is true)[En s'éloignant de la table, laissant derrière lui les 3 compères discuter entre eux, ](else:)[Tout en réféchissant à la stratégie à employer, ]\
le Chevalier Gourmand lanca un regard rapide vers la porte d'entrée. Un nouveau client venait de la franchir. Encore un homme de passage. Il se tenait droit, balayant d'un mouvement de tête lent toute la salle. À en croire son allure, à la qualité de ses habits, il s'agissait certainement d'un riche marchand. Il faut dire que l'auberge avait bonne réputation, c'était un excellent endroit pour passer une excellente soirée, avec des prix pour toutes les bourses.
(if: $observerlasalle is 0)[(display: "Ambiance auberge")](else:)[<nobr>]\
Ce n'est pas tant l'allure de ce commercant qui attira l'attention du Chevalier Gourmand. Non. C'est ce qu'il avait appercu derrière lui. Dans la rue noire. Une ombre venait de plonger dans un fourré. Qu'est ce que cela pouvait être ? Un animal certainement. Il ne pouvait en être autrement. Il y a nombre de chiens sauvages faisant les poubelles autour des auberges. À moins que ce ne soit un bandit, quelqu'un à la recherche de quelques méfaits à accomplir. Un briguand qui suivrait ce pauvre riche marchand pour le dépouiller. Où alors un espion sur la piste des 3 aventuriers, un individu qui en aurait après le coffre magique. Le Jeune Chevalier était dans l'embarras. Il ne pouvait laisser un coupe-jarret dépouiller un honette citoyen sur ses terres sans ne rien faire. Mais s'il ne s'agissait que d'une bête affamé, avec laquelle il devrait se battre, il perdrait du temps pour pas grand chose. Et l'espion, si cela en est un... Que faire ? Bon sang, c'est aussi ça l'aventure, être face à des choix cornéliens...
<b>Auberge D</b>
Le gars a vraiment perdu beaucoup de temps...(set: $time = $time +1)\
(set: $histoire = $histoire + 1)\
(if: $ombre is 0)
[ \
Peut importe ce grincement de porte, sans doute un voyageur venu chercher réconfort dans une bonne auberge. Il y avait plus important... Surveiller le conciliabule !
] \
(if: $ombre is 1)
[ \
Observer la rue noire allait l'embarquer dans une aventure où la récompense ne serait que le ronronement d'un chat content de trouver quelqu'un pour le carresser. Cela ne servait à rien, il valait mieux se concentrer sur son affaire...
] \
Depuis maintenant quelques minutes, le Chevalier Gourmand observait les 3 mercenaires. Les bougres s’étaient rapprochés les uns des autres, formant comme une mini-mêlée. Il ne voyait plus leurs visages et n’entendait plus leurs voix. Ils chuchotaient. Qu'a cela ne tienne, il en profitait pour avaler quelques madeleines. Oui, au comptoir de cette auberge, il y a de délicieuses madeleines. Elles sont posées dans un petit panier en osier. Préparées avec grand talent par le fils de l’aubergiste, elles ont un goût comme nulles autres pareilles. C’est un détail, mais cela participe à la raison de la présence du Chevalier Gourmand en ces lieux. L’aventure, c’est bien, mais les gâteaux, c’est indispensable !
Le problème, c'est que cette gourmandise pouvait le faire passer à coté de quelque chose d'important. Alors, devait-il répondre à l'appel du palais, ou à celui de la curiosité ? Quelle était la bonne option pour partir à l'aventure ? Se rassurer en mangeant un gâteau ou tenter d'espionner les 3 aventuriers ?
[$fleche_1 [[Ecouter la conversation.->Tenter d'écouter la conversation.]]<br>](else:)[<nobr>]\
[$fleche_1 [[Manger une madeleine.->Patienter.]]<br>](else:)[<nobr>]\
[(display: "Bas de page #1")](set: $forestier = $forestier +1) \
<b>L'inconnu.</b>
(if: $time is 1)
[ \
Même s’il n’avait pas beaucoup d’expérience, le Chevalier Gourmand n’en était pas moins vif d’esprit. Il savait qu’il lui fallait être discret. On n’observe pas un observateur observant sans prendre quelques précautions. S’il croisait son regard une fois, le hasard endosserait volontiers les raisons de cette coïncidence. Une seconde fois serait déjà plus gênante. Et trois deviendrait forcément suspect. Il lui fallait donc le regarder suffisamment pour relever des indices, mais point trop pour ne pas éveiller de soupçon. Le bougre avait terriblement bien choisi sa place. Une petite alcôve peu éclairée. Dos au mur, le danger ne pouvait venir que de face. Juste à sa droite, à moins de deux mètres, la porte de service menant aux écuries. De quoi fuir rapidement. Il était malin. Très malin. Mais le Jeune Chevalier avait de la ressource.
- Dites-moi aubergiste, lança-t-il, je crains avoir installé « Vif éclair » - c’est ainsi que se nommait son poney -, devant une auge vide, puis-je jetter un oeil rapide par la porte de service et donner instructions ?
- Mais bien sûr Chevalier, répondit le propriétaire des lieux. Faite, Urselin fera ce qu’il faut.
Urselin était le fils de la maison, un ami du Chevalier Gourmand et, accessoirement, un excellent pâtissier. Voilà notre jeune héros se levant avec bonne raison. Il avait verbalisé sa demande suffisamment fort pour que l’on puisse l’entendre. Armé de sa bonne excuse il pouvait passer devant l’inconnu sans provoquer suspicion.
Arrivé au niveau du mystérieux personnage, juste avant d’attraper la poignée de la porte, le jeune chevalier lui décrocha un sourire. De ceux, polis, qui marquent un territoire et affirment la bienvenue dans celui-ci. Notre homme lui rendit en effectuant un mouvement de tête d’approbation. De ceux qui montrent respect. L’échange de regards, l’attitude et l’aspect général de l’individu ne laissaient planer aucun doute. Sa capuche, ses bottes, ses gants, son épée courte, son couteau à la ceinture, il s’agissait d’un forestier. Ces gens n’ont aucune animosité sauf envers ceux qui ne respectent pas la nature. Il ne pouvait en avoir après le Chevalier Gourmand, ou sa famille qui magnifiait au mieux la terre des Terres Centrales. Mais s’il était là, c’est qu’il avait une bonne raison. Après qui pouvait-il en avoir ? Qui, dans l’auberge, méritait qu’un forestier passe la soirée hors de sa forêt ? Le jeune Chevalier était perturbé. Croiser un tel homme était rare, et il y avait là une opportunité à saisir. Et puis sa présence signifiait un problème, et il se devait, en tant que Chevalier des Terres Centrales, d'en être informé. Seulement voilà, s’intéresser à tout cela, c’était laisser tomber le coffre magique et les gâteaux. Continuer jusqu'aux écuries lui permettrait d'avoir des informations complémentaires et, surtout, lui laisserait quelques instants de réfléxions supplémentaires. Car comme le disait si souvent son père, la précipitation n'est pas la meilleure conseillère...
] \
(if: $time is 2)
[ \
Si leur histoire était fascinante, elle était tout de mème un brin longuette. ] \
(if: $time is 3 and $singe >0)
[Le jeune chevalier n'oubliait pas l'alcove. Qu'observait son occupant ? Peut-être que lui aussi avait vu le manège du bateleur et de son singe.] \
(if: $time > 1)
[ \
(set: $forestier = $forestier +5) \
Un petit coup d’oeil rapide afin de vérifier ce que faisait l’inconnu ne lui ferait perdre aucune information capitale, bien au contraire. Peut-être était-il lui aussi en train d'écouter les trois compères. Mieux, peut-être était-il sur leur trace. Il lui fallait discrètement s’en assurer. Et c’est ce qu’il fit. Tournant légèrement la tête, comme pour se défaire d’un torticolis, ce qu’il vit, ou plutôt ce qu’il ne vit pas le laissa circonspect. L’alcôve était vide. Sur la table, un pichet, une chope et quelques pièces. En l’espace d’une ou deux minutes, il avait plié bagage. Ne faisant aucun bruit. Une discrétion hors du commun. Mais où était-il ? Est-il parti aux écurie ? Devait-il laisser de côté tout ce qu'il avait vu ou entendu aupparavant afin de retrouver sa trace ?
] \
(if: $forestier is 2 and $time > 1) [$fleche_1 [[Allez voir le trio->Répondre à leur signe en s'approchant.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 2 and $time > 1 and $ecurie is false) [$fleche_1 [[Aller aux écuries.->Continuer jusqu'aux écuries.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 3 and $ecurie is true) [$fleche_1 [[Retourner aux écuries.->Retour aux écuries.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is 1) [$fleche_1 [[Aborder l'inconnu.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is 1 and $approchefrontale is false) [$fleche_1 [[Continuer jusqu'aux écuries.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is >1) [$fleche_1 [[Observer attentivement la salle.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is >1 and $approchefrontale is false) [$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is 2 and $approchefrontale is true) [$fleche_1 [[Observer le trio.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time > 5 and $approchefrontale is true) [$fleche_1 [[Observer le conciliabule->Observer le trio.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 1) [$fleche_1 [[Observer le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2) [$fleche_1 [[Attraper le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2 and $aubergiste is 0) [$fleche_1 [[Informer l'aubergiste à propos du singe.->Conseils aubergiste.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre is >0) [$fleche_1 [[regarder par la fenêtre ->Observer la rue noire.]]<br>](else:)[<nobr>]\
[(display: "Bas de page #1")]<!-- ambience auberge première fois -->\
L'ambience, plutôt festive, était bon enfant. Cela était en partie dû au menestrel qui, aidé de sa lyre mal accordée, enchantait la salle de quelques vers. À moins que ce ne soit ceux, bien remplit, que s'empressait de servir la femme de l'aubergiste.
(set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Afin de ne pas prendre de décision à la légère, et de ne pas commettre d’impair, le jeune chevalier décida d’observer un peu mieux la scène et ses protagonistes.
L’animal était un singe de petite taille et de faible poids. Il s’agissait probablement d’un capucin. Une espèce vive, intelligente, et s’entendant très bien avec qui savait lui donner de l’affection et, surtout, de la nourriture. Les amuseurs de place publique s’acoquinaient souvent avec ces bestioles car il était facile de leur apprendre quelques tours. Ils leur mettaient un petit costume rigolo pour les rendre plus « humain ». Cela amusait les enfants, attendrissait les adultes et rapportait pas mal d’argent. Et puis ces petites créatures passaient partout, ce qui est parfois bien utile pour qui a besoin d’atteindre des endroits peu accessibles.
Celui-ci ne dérogeait pas à la règle. Il était affublé d’un petit chapeau tenant grâce à un discret ruban couleur pelage. Il portait une chemise d’un rouge foncé, presque sang, et une espèce de pantalon fait de bout de tissus disparates et assemblés entre eux, comme si à force de rapiéçages la pièce d’origine avait totalement disparue. La chose possédait à l’arrière un trou par lequel passait la queue agile de la bête, rappelant ainsi qu’il ne s’agissait pas d’un humain miniature mais bel et bien d’un animal.
Étonnamment, il n’effectuait pas de numéro amusant afin de séduire les clients et les pousser à donner quelques pièces. Il laissait cette tâche à son maitre. Lui semblait confortablement installé à un poste d’observation. C’était évident, il scrutait la salle. Il passait d’un spectateur à l’autre, comme s’il cherchait quelque chose. Le voilà s’arrêtant sur un bourgeois. Les mouvements rapides de sa tête ne laissaient planer aucun doute, son regard passait de la bourse du client au visage de son maitre. Il semblait vouloir lui indiquer quelque chose. Les petits sifflements stridents qu’il émettait avaient enfin attiré l’attention du dresseur. Le saltimbanque fit un imperceptible mouvement d’approbation, une validation perdue au milieu de sa chorégraphie que seul quelqu’un d’attentif pouvait remarquer. Et il y avait quelqu’un d’attentif dans l’auberge. Le jeune Chevalier Gourmand avait très bien vu ce qui était en train de se jouer sous ses yeux, un larcin était en train de se mettre en place. Il ne pouvait laisser faire. En intervenant maintenant, il couperait court à un détroussage en règle. Se faisant, il perdrait le fil d’une potentielle aventure puisqu’il devrait accompagner la garde jusqu’aux geôles afin de témoigner. Mais, en arrêtant le singe publiquement, il ferait une belle démonstration de son autorité au trio de compères… Le jeune chevalier n’avait que quelques secondes pour se décider…
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[S’approcher du trio sans éveiller les soupçons.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2)[$fleche_1 [[Attraper le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2 and $aubergiste is 0) [$fleche_1 [[Informer l'aubergiste à propos du singe.->Conseils aubergiste.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre is 1)[$fleche_1 [[Observer la rue noire.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 1)[$fleche_1 [[Observer l'inconnu.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $approchefrontale is true) [$fleche_1 [[Observer le trio.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(set: $ruenoire = true)\
Surveiller la rue
<!-- options -->\
$fleche_1 [[Fouiller le buisson.]]
$fleche_1 [[Observer le trio.]]
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[S’approcher du trio sans éveiller les soupçons.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $detournerlattention is true and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 0)[$fleche_1 [[Observer l'inconnu.]]<br>](else:)[<nobr>]\
Avant de continuer cette histoire, il faut que vous en sachiez un peu plus sur les Terres Centrales. Cette région est plutôt tranquille. C’est une zone neutre. Un lieu où personne, pas un humain, pas une créature, n’a le droit de briser la paix. Mais cela n’a pas toujours été le cas. Il y a longtemps, très longtemps, le monde était en guerre. Partout. Pas un territoire qui ne guerroyait avec un ou plusieurs voisins. Les villageois, les peuples se chamaillaient pour un oui et pour un non. Dès que quelque chose n’allait pas, c’était la faute des autres. S’ils habitaient de l’autre côté la colline, mmmmmmmm, c’était encore plus de leur faute. S’ils étaient d’une autre espèce, alors là… c’étaient une évidence… C’était forcément de leur faute. Et je ne vous raconte pas, comment il était facile de faire porter le chapeau de tous vos malheurs à une autre espèce, habitant de l’autre coté d’une colline ?
Bref, pour arriver à leurs fins, beaucoup déclenchaient des guerres. Des tyrans, des despotes, des conquérants, des persécuteurs, des oppresseurs, des dictateurs, des escrocs, des voleurs… Il y avait toujours une bonne raison d’aller agresser son voisin. Celui qui n’est pas de chez nous. Certains beaux parleurs, certains manipulateurs s’en donnaient à coeur joie afin de faire prospérer leurs petites affaires sur le dos des autres. Et puis un jour, une partie de la population du monde en eut assez. Les femmes et les enfants surtout. Ils en avaient assez de voir partir leur mari, leur père, leur frère, leur fils… qui jamais ne revenaient ou, au mieux, bien mal en point.
Les femmes décidèrent que cela suffisait. Et si au début elles doutaient d’arriver à se faire entendre, parce que les hommes, ça parle fort, grâce à leur intelligence et à leurs convictions, elles réussirent à instaurer la paix. Durant des années, durant des siècles. Le monde ne connut plus aucun conflit. L’intelligence et la raison dominaient.
Et puis un jour, lorsque tout le monde eu oublié pourquoi la paix régnait, une petite embrouille entre deux voisins, fît réapparaitre la colère. Et doucement, le monde redécouvrit la jalousie, la convoitise, la haine… Et doucement, les régions se replièrent sur elles-mêmes, les gens se replièrent sur eux même, se méfiant de ceux du village de l’autre côté de la colline… Les guerres reprirent, les tyrans, les despotes, les conquérants, les persécuteurs, les oppresseurs, les dictateurs, les escrocs, les voleurs… réapparurent. Le chaos s’installa de-ci, de-là… Mais une terre continuait de penser que la paix était la seule issue afin d’éviter les peines, les injustices. Une seule terre était épargnée par les conflits, une seule terre vivait encore en harmonie, et cette terre c’est ici, les Terres Centrales. Protégée au Nord par des montagnes et au Sud par un désert. À l’Ouest par un océan et à l’Est par une forêt. Et le monde acceptait la neutralité des Terres Centrales. Mais pour combien de temps encore ?
C’est là, dans cette paix, qu’est né le Chevalier Gourmand. C’est cette Terre tranquille qu’il veut quitter. Pour aller vivre des aventures.(set: $forestier = $forestier +1)\
(set: $time = $time +1)\
Le Chevalier Gournand n'avait pas besoin de conseils, mais d'aventures. S'il avait entendu parler des Forestiers, s’il avait étudié leurs moeurs et leurs spécificités dans les livres, c’était la première fois qu’il en voyait un en chair et en chair. Il ne pouvait laisser passer une telle occasion.
- Monsieur, permettez-moi de me présenter, je suis Ernest (rrrraöjhan) Raöjjan, Fils d’Alex et Léo (rrrraöjhan) Raöjjan, Grand Chevalier de la Reine des Terres Centrales. Au nom de mes parents, et de moi même, je vous souhaite la bienvenue en notre belle cité. Il est rare de croiser un Forestier en zone urbaine et j’espère que votre présence en ces lieux n’est motivée que par un évènement positif. En effet, nous serions fort contrariés de vous savoir poussé hors de vos magnifiques forêts contre votre volonté… par quelques malandrins emplis de mauvaises intentions par exemple. Si tel était le cas, je vous apporterais volontiers mon soutien et sur le champ.
L’homme ne semblait pas surpris par l’initiative du jeune Chevalier, comme s’il s’attendait à son intervention. Sa longue chevelure noire soigneusement attachée et sa barbe taillée masquaient la majorité de ses traits. Cela donnait de l’importance à son regard. Un regard surligné par une barre de sourcil dense avec laquelle il pouvait marquer ses intentions, ses sentiments. Le petit silence précédent sa réponse permit à son visage de glisser de la gravité à la bienveillance.
- Merci de votre sollicitude jeune chevalier, dit-il. Mon nom est Agreste. J’ai quitté le sanctuaire forestier de Buccole il y a quelques jours, non contraint par un funeste sort, je vous rassure, mais parce que le destin me le dicte. C’est là tout ce que je peux vous dire, jeune Chevalier.
Le son apaisant de sa voix avait quelque chose d’attirant. On sentait chez lui une assurance incroyable. Le Chevalier Gourmand avait bu ses paroles, et un mot raisonnait dans son esprit « Destin » ! « Destin », « Destin »… Il était comme hypnotisé. Mais le message était on ne peut plus clair, le Forestier ne pouvait rien lui dire de plus. Insister serait lui manquer de respect, mais ne pas le faire serait passer à côté d’une aventure.
<!-- options -->\
$fleche_1 [[Insister auprès du Forestier.]]
$fleche_1 [[Acquiesser et continuer jusqu'aux écuries->Continuer jusqu'aux écuries.]]
[(display: "Bas de page #1")](set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Et sa décision fut sans appel. Il devait protéger la réputation de l’établissement, et donc de la ville, et donc de sa famille, et donc de la Reine, et donc des Terres Centrales, et donc il devait mettre fin immédiatement au petit manège qui était en train de s’installer ! Le Chevalier Gourmand devait attendre le bon moment pour agir. Un flagrant délit serait parfait. Personne ne peut nier lorsqu’il est pris la main dans le sac. Enfin si, on peut, mais il faut de très bons arguments et peu de témoins. Et du témoin, ce soir, il y en avait en pagaille. Le jeune Chevalier sentait monter une frêle excitation. Il allait arrêter un gredin. En public. Là. Maintenant. Il ne fallait pas se louper. Il lui fallait un plan.
Plusieurs possibilités lui vinrent à l’esprit. De la plus complexe à la plus spectaculaire. Sa première idée fut d’aller s’assoir à côté de la victime désignée par le petit macaque. Il serait alors au plus prêt de l’action et certain de réagir sûrement et rapidement. Mais cela n'était pas très discret. La seconde option était plus fourbe. Attirer l’animal à lui pour SE faire détrousser et dénoncer alors l’entourloupe. Ainsi, il serait vraiment certain d’avoir attrapé un coupable puisqu’il en serait la victime. Il restait toutefois une dernière façon de procéder, plus simple, mais peut-être moins efficace. Attendre en observant de sa place que le chapardage s’opère, puis agir en bondissant sur le comptoir dans un éclat accusateur, l’épée à la main. Il y avait là assurance de discrétion au début, panache à la fin, mais un petit risque de louper l’action au milieu. Que faire ?
[[Rester à sa place.->Le singe de loin.]]
[[Aller s'assoir à coté de la victime.->Le singe de près.]]Double-click this passage to edit it.(set: $time = $time +1)\
(set: $ecurie = true)\
<b>Les écuries.</b>
(if: $forestier > 2)[(display: "Inconnu A") (display: "Inconnu B") ]\
(if: $forestier is 0 and $time is 2)[(display: "Inconnu B")]\
(if: $forestier is 0 and $time > 2)[(display: "Inconnu C")] Là, sur la gauche, les deux haridelles marqués par la fatigue, dévorant du foin autant qu’ils le pouvaient, devaient être ceux des trois gaillards. Ils étaient aussi poussiéreux que leur cavalier. Ils avaient dû en parcourir des kilomètres, ils avaient dû en voir des paysages, ils avaient dû en vivre des péripéties. Deux canassons pour trois hommes, cela expliquait l’état de leurs chausses. Un détail attira son attention, ils n’avaient laissé aucun sac accroché aux selles, signe qu’ils avaient prévu de passer la nuit ici.
Non loin d’eux, une magnifique monture à la robe soyeuse et parfaitement entretenue semblait ignorer par méfiance le contenu de son auge. Élancée, oeil éveillé, nervosité contrôlée, autant de signes caractérisant une bête d’exception et considérée comme tel par son propriétaire. La forme et la légèreté de sa selle ne laisser planer aucun doute, cet animal merveilleux était le binôme d'un Forestier. Ces gens ont une liaison comme aucun autre avec les animaux. Aucun d’eux n’est leur propriété. Il s’agit plutôt d’une relation amicale, volontaire. Ensemble, ils accomplissent un devoir, il veille l’un sur l’autre. Le Chevalier Gourmand rêvait d’une telle relation.
La petite inspection ne dura pas plus d’une minute. Peut-être deux. Il était envahie par des milliers de questions. (if: $forestier is 3)[(display: "Ecurie A")](if: $forestier is 2 and $time is 2)[(display: "Ecurie B")](if: $forestier is 2 and $time > 2)[(display: "Ecurie C")]
[[Observer attentivement la salle.]]
(if: $forestier is 3 and $time is 3)[$fleche_1 [[Retourner parler au Forestier->Insister auprès du Forestier.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 4 and $time is 4)[$fleche_1 [[Retourner parler au Forestier->Tenter d'influencer le forestier.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is 2 and $alcove is false)[$fleche_1 [[Retourner à l'alcove->L'alcove.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false and $forestier > 3)[$fleche_1 [[S’approcher du trio sans éveiller les soupçons.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false and $forestier > 3)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $detournerlattention is true and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $approchefrontale is true and $time < 5)[$fleche_1 [[Retourner observer le conciliabule.->Observer le trio.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $approchefrontale is true and $time > 4)[$fleche_1 [[Retourner auprès du trio.->Répondre à leur signe en s'approchant.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 1)[$fleche_1 [[Observer le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2)[$fleche_1 [[Attraper le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2 and $aubergiste is 0) [$fleche_1 [[Informer l'aubergiste à propos du singe.->Conseils aubergiste.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 1)[$fleche_1 [[Observer l'inconnu.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre > 0)[$fleche_1 [[Retourner observer la rue noire.->Observer la rue noire.]]<br>](else:)[<nobr>]\
<b>Inconnu A</b>
Le Chevalier, malgré sa jeunesse et sa fougue, savait qu’il représentait sa famille, il ne pouvait donc manquer de respect au Forestier en insistant sans impliquer tous ceux de son nom. Le Message était clair, s’il affirmait ne pas pouvoir en dire plus, c’est qu’il ne pouvait en dire plus. Il était temps pour notre jeune potentiel héros de reprendre où il en était. Il lui fallait se concentrer sur les trois voyageurs, et il avait certainement dû louper beaucoup de choses.
- Bien, si tel est votre désir, je vous laisse à votre destin et à votre pinte. Mais sachez que si vous avez besoin de quoi que ce soit, d’aide ou d’autre chose, je serais heureux de vous l’apporter.
(set: $forestier = $forestier +1)\
(set: $time = $time +1)\
Cela pouvait être perçu comme un manque de respect, mais le jeune Chevalier ne pouvait tenir. Si le "destin" croisait sa route, il ne pouvait le laisser passer sans tenter d’y prendre part. Se disant que sa jeunesse expliquerait sa fougue, il tenta d’en savoir plus.
(if: $ecurie is false)
[ \
- Cher Agreste, me voilà rassuré. Mais mon Destin est, je le sais, de vivre des aventures, et il me semble que vous croiser ici n’est pas le fruit du hasard. Il est possible que mon destin et le votre soient liés. Il serait dommage que nos forces, nos convictions se loupent alors qu’elles se cherchent. Ne croyez-vous pas ?
] \
(if: $ecurie is true)
[ \
- Cher Agreste, excusez-moi mais je ne peux résister. Je viens de voir votre monture. Quel beau compagnon vous avez là ! Je sais que vous, Forestiers, entretenez avec les animaux des liens privilégiés et je rêverais d’avoir ce genre de relation avec mon fidèle destrier. Je ne sais pas combien de temps vous comptez rester en ville, mais je serais ravi de vous inviter en notre demeure quelques jours afin que vous me dispensiez quelques conseils qui, j’en suis sûr, conditionneront mon avenir. Qu’en dites-vous ?
] \
- Cher Ernest, permettez moi de vous appeller ainsi, je sens chez vous une certaine maturité malgrès votre jeune âge. De plus, je vois que votre arme est taillé dans un bois que je connais. Puis-je, dit-il en tendant la main.
- Mais bien sûr s'empressa le Chevalier Gourmand en dégainant doucement sa courte épée. Voici, rajouta-il en la déposa délicatement dans la main d'Agreste.
En observant le petit glaive sous toutes les coutures, le soupesant, admirant son alignement, Le Forestier marmonait quelques paroles dans une langue étrange. Comme s'il parlait au bois.
- Je sens que je peux me confiez à vous, dit-il en rendant la lame. Je vais suivre mon instinct et vous raconter les raisons de ma présence ici. Il y a peu, la foudre est tombée au coeur de notre domaine, et l’Oracle a lu dans les traces laissées par les éclairs qui était le Protecteur de la prophétie. J’ai pris la route, car je suis ce protecteur. Je suis venu au monde il y a des années pour accomplir une mission, une mission que je dois mener seul. C’est écrit ainsi. Si le destin vous a fait croiser ma route, c’est qu’il y a une raison, je n’en doute pas. Mais je dois rester seul pour que la prophétie se réalise. Si je vous fais cette confidence, c’est parce que je sais que vous comprendrez ma position et qu’en vous demandant de garder cette information pour vous, de n’en parler à personne, votre rang et votre loyauté m’assurent que ceci restera secret. N’est-ce pas Chevalier ?
Rang. Loyauté. À ces mots, le Chevalier Gourmand frémit. Il était question ici d’honneur, le sien, bien évidemment, mais aussi celui de ses ascendants et de ses descendants. Il ne pouvait insister plus. Si le Forestier s’était installé dans l’auberge, s’il s’était mis à l’écart, c’était certainement pour une bonne raison. Observe-t-il quelqu’un ou quelque chose. Qui, Quoi ? Une aventure à base de gâteau et de magie lui tendait les bras, mais une prophétie était en train de se réaliser. Que faire ?
<!-- options -->\
$fleche_1 [[Tenter d'influencer le forestier.]]
(if: $ecurie is false)[$fleche_1 [[Continuer jusqu'aux écuries.->Continuer jusqu'aux écuries.]]<br>](else:)[<nobr>]\
$fleche_1 [[Retourner vers la salle->Observer attentivement la salle.]]
[(display: "Bas de page #1")]Face à nouveau à la salle, il pouvait envisager plusieurs moyens d'occuper ce court instant. Sa curiosité était grande, son instinct à l'affût. Qu'allait-il faire pour optimiser ce moment et, surtout, pour ne pas se tromper ?
Le plus bavard des trois était un grand gaillard. Son visage ne respirait pas la plaisanterie. Il avait une large cicatrice sur la joue et une plus fine sur le front. Il avait dû se battre souvent. Vu son teint, il avait probablement participé aux grandes guerres du Sud. Le soleil avait creusé de fins sillons sur tout son épiderme. L’épiderme n’est pas un légume domestique, l’épiderme c’est la peau. La chaleur avait asséché toute sa peau. Ses bras étaient fripés malgré la présence de muscles bien taillés. Son épée à lui n’était pas en bois…
<b>Inconnu B</b>
Le Chevalier Gourmand, ne pouvant ignorer l’appel de l’aventure, surtout celle avec de la magie, et encore moins celle se terminant par un festin pâtissier, continua l’air de rien jusqu’aux écuries. Après tout, il y aurait toujours moyen de discuter avec ce forestier un peu plus tard. Il attrapa la poignée, passa la tête, aperçu Urselin, fit quelques politesses d’usage et, de façon à ce que l'on puisse l'entendre depuis la grande salle, lui indiqua de vérifier si Vif Éclair avait du foin, ainsi que de l’eau, et, dans le cas où il y eut manque, d’y remédier. Ce faisant, il en profitait pour jeter un oeil rapide aux box.<b>Inconnu C</b>
Pour se rendre rapidement aux écuries, sans avoir besoin de sortir de l'auberge, il y avait la porte de service. Elle était dans la salle, mais seul les employés l'emprumptaient. Le Chevalier Gourmant eu une idée.
- Aubergiste, lança-t'il, je crains avoir installé « Vif éclair » - c’est ainsi que se nommait son poney -, devant une auge vide, puis je jette un oeil rapide par la porte de service et donner instruction ?
- Mais bien sûr Chevalier, répondit le propriétaire des lieux. Faites.
Notre jeune héros, fort de son excuse, traversa la grande pièce, ouvrie la porte et passa la tête.(set: $time = $time +1)\
(set: $aubergiste = $aubergiste +1)\
Mais oui. Prévenir l’aubergiste. Bon sang d’en voilà une bonne initiative. Cette alternative réjouissante mettrait fin à l’indélicatesse se préparant à la barbe de tous, tout en laissant l’opportunité à notre futur héros de continuer ses investigations. Un choix judicieux. Il fallait juste discrètement prévenir l’hôte de ces lieux et le tour était joué. Après tout, c’était son établissement, il savait comment gérer les indélicats.
Le Chevalier Gourmand chercha son air le plus sérieux. Il baissa ses deux sourcils puis releva légèrement le droit afin de marquer une pointe d’inquiétude. S’approchant du comptoir, il y posa ses deux coudes, joint ses mains devant sa bouche et, regardant vers le patron préparant une commande, émit un petit sifflement discret.
- Psst…
Point de réaction. Il faut dire que l’établissement était de plus en plus bruyant.
- Psssssssst, fit-il plus fort. Ce surplus de volume eut l’effet escompté. Albert, car tel était son nom, tourna la tête, et, voyant le visage alarmé du jeune chevalier, coupa net le sourire qu’il allait entamer. Quelque chose n’allait pas. C’était clair. La virgule sourcilière ne trompait pas.
- Que se passe-t-il de quoi puis-je pour vous, Chevalier ? demanda Albert.
- e crains qu’un malin soit en train de détrousser votre clientèle, chuchota Ernest.
- Quoi quoi quoi !? gloussa l’aubergiste.
- Chuuuuut ! s’empressa de rajouter notre jeune héros, soyez discret, l’affaire n’est pas encore sûre. Laissez-moi vous expliquer. J’ai remarqué un petit manège que je n’ai point le temps de confirmer. Je vous confie l’affaire dont voici les détails. Le bateleur qui égaille la soirée de vos consommateurs est le suspect principal et son complice n’est autre que le petit animal charmant qui l’accompagne.
- Bhoudla, lâcha l’aubergiste en tournant la tête pour regarder vers la salle.
- Reprenez-vous, s’empressa de rajouter Ernest, pas d’émotion exagérée qui pourrait alerter le briguant. Je vous informe de la situation, discrètement, car mon intérêt est ailleurs, je suis sur la piste d’une aventure et je n’ai que peu de temps devant moi. Ecoutez moi bien…
- Pcha pchi pcha… petit singe… pchi pcha pchi… repérage… Pcha pchi pcha… détourner l’attention pour faire les poches… pchi pcha pchi… si vous avez confirmation de cette entourloupe, le mieux est sans doute de prévenir la garde. En ce qui me concerne, j’ai fait ma part, je retourne à mes affaires.
- Merci Chevalier, rajouta l’aubergiste, on n’est jamais assez vigilant et vous me sortez là d’un potentiel beau scandale. Vous m’évitez la perte de réputation et je saurais m’en souvenir.
- Mais de rien, je ne fais que mon devoir, Monsieur.
Fort d’une mission accomplie, le Chevalier Gourmand pouvait se concentrer sur sa recherche d’aventure. Mais quoi faire ?
[[Observer la salle->Observer attentivement la salle.]]
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[S’approcher du trio sans éveiller les soupçons.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre is 1)[$fleche_1 [[Observer la rue noire.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 1)[$fleche_1 [[Observer l'inconnu.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $approchefrontale is true) [$fleche_1 [[Observer le trio.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(set: $forestier = $forestier +1)\
(set: $time = $time +1)\
S’il est une chose qui caractérise la jeunesse, une chose à la fois qualité et défaut, c’est l’audace. Notre apprentie héros n’en manquait pas. D’audace. Peut-être eûtes-vous fait autrement, mais à ce moment-là du récit, j’ai le sentiment que vous auriez, vous aussi, tenté d’insister. Alors il tenta. Il commença ainsi :
(if: $ecurie is false)[]\
(if: $ecurie is true)[]\
- Vous pouvez compter sur ma discrétion. Cette confidence est un honneur. Pour moi et pour ma famille. Si je comprends l’importance de votre solitude dans l’accomplissement de cette prophétie, je ne peux me retenir de croire qu’en cette belle soirée, en cette belle auberge, je peux encore vous tenir compagnie un court instant sans interférer dans vos importantes affaires. Je suis convaincu que je pourrais, même en un temps court, apprendre, même un peu, un peu qui pourrait me servir beaucoup le moment venu.
Le visage du Forestier glissa doucement de la bienveillance vers l’intérêt certain. Il fixait le jeune chevalier avec une telle gentillesse, une telle intelligence, que plus rien ne pouvait perturber cet instant. Comme si une bulle de silence s’était installée autour d’eux. Plus rien ne comptait.
- Je comprends votre impatience tout autant que votre ardeur ponctua Agreste avant de prendre un léger recul en s’adossant à son siège.
Après une courte pause durant laquelle il inspira profondément tout en caressant sa barbe, mouvement qui lui permit d’observer son interlocuteur des pieds à la tête - et entre nous, vu sa taille, cela fût vraiment très rapide -, il expira et rajouta :
- Je pourrais en effet prendre quelques instants pour vous enseigner une vertu. Laissez-moi régler mon dû et, si vous le voulez bien, marchons ensemble jusqu’à votre demeure.
Le Chevalier Gourmand étouffa un cri de joie. Son visage tentait de retenir un sourire inconvenant. Il opina. Simplement. Agreste termina son breuvage et posa sa chope au côté du pichet. Il fouilla l’une des poches de son gilet et lâcha quelques pièces au centre la table qui tintinabulèrent. Il se leva et prit la direction de la sortie, notre jeune héros dans ses pas. Plus rien n’avait d’importance. Oubliés le coffre, la magie et les gâteaux. Même le son crispant de la lyre n’atteignait plus ses oreilles. Ils traversaient la salle comme s'il n'y avait plus de clients, et en quelques secondes les voilà dans la rue. Sombre. Vide. Ou presque…
Le Chevalier Gourmand n’osait rien dire. Les premiers mètres se firent dans un silence à peine rompu par un volet qui claque et un chien, au loin, qui aboie.
- N’avez-vous rien remarqué ? demanda soudainement Agreste.
- Ce n’est qu’un chien qui doit courir après un chat tout aussi errant que lui, répondit Ernest.
- Je parle de l’auberge, précisa le Forestier.
- A part vous, discrètement installer dans l’ombre d’une alcôve, il n’y avait guère rien de bien fascinant ce soir.
- Vraiment jeune chevalier, pourtant il m’a semblé que votre intérêt premier se portait sur ces 3 mercenaires bien bruyants. Peut-être que leur histoire méritait que vous vous attardassiez un peu afin d’en savoir plus. Se faisant, il eût été possible que votre attention se portât sur le troubadour et son petit animal espiègle…
- Quel animal ? demanda surprit Ernest.
- Celui que vous n’avez point vu car une fois votre regard tombé sur moi vous n’avez plus pensé à autre chose.
- Mais… mais… balbutia notre jeune héros.
- Il est vrai qu’il y a de la logique et de l’intelligence dans votre démarche. Il semble tout à fait normal de vouloir en savoir plus sur un individu qui, assis dans un coin sombre, semble surveiller quelqu’un ou quelque chose. Mais insister alors même que je vous avais informé ne pas pouvoir vous en dire plus n’est-il pas superfétatoire ?
- Super quoi ?
- Fétatoire. Superfétatoire. Cela n’a rien à voir avec faire la fête, précisa en souriant Agreste. Non. Cela veut dire « qui s’ajoute inutilement ». En d’autres termes, il était peu probable que je vous donne plus d’informations que ce que je vous avais déjà donné. Il était donc inutile d'essayer d'en savoir plus. Mais, jeune chevalier, je comprends tout à fait votre curiosité. Elle est naturelle et bien souvent, elle vous sera utile. Mais point trop n'en faut. Quoi que vous fassiez, il vous faut rester attentif à ce qui vous entoure. Mais, il ne faut pas non plus trop se laisser distraire. Là est le plus difficile. Savoir doser et prioriser tout en restant vigilant.
- Je comprends acquiesça notre apprentie héros. Je comprends.
Cela faisait maintenant quelques minutes qu'ils marchaient ensemble, prenant tantôt à droite, tantôt à gauche. Si l'on avait posé la question à des spectateurs, personne n'aurait pu définir qui impulsait les changements de direction. D'aucuns auraient même pu témoigner sur l'honneur que c'est le Forestier qui menait la marche, comme s'il savait exactement où habitait son compagnon de promenade.
- Bien, je crois que nous voilà devant l'entrée de votre grande demeure, dit Agreste, il est temps pour moi de vous laisser. Je sais que vous recherchez l’aventure et que, ce soir, vous êtes certainement passé à côté.
Ernest poussa un léger soupir de contrariété tout en baissant doucement la tête.
- Mais pas tant que cela rajouta Agreste. Pas tant que cela.
Fouillant dans sa besace, il rajouta :
- Je vais vous donner une fiole préparée par un vieil ami, un mage du sanctuaire de Buccole. Si vous voulez revivre cette soirée et faire d’autres choix, il vous suffira d’en boire le contenu. Mais attention, il vous faut tout boire d’un coup.
Le Chevalier Gourmand releva la tête, ses yeux étaient tout ébaubis. C'est un joli mot pour dire que ses yeux montraient une très vive surprise. On allait lui confier une fiole contenant une potion magique ! À lui. Là. Maintenant.
- Je vous offre ce produit rare à une seule condition.
- Laquelle, dites et je l’appliquerais, se pressa d’affirmer Ernest.
- N’en parlez à personne. Jamais.
- Jamais ! répéta le jeune chevalier en tendant la main. Jamais !
Le Forestier déposa délicatement la petite fiole dans la petite main du Chevalier Gourmand. Il pencha doucement la tête, lui faisant un sourire amical. Quelque chose qui ressemblait plus à un au revoir qu’à un adieu. Il tourna les talons et, s’enfonçant rapidement dans la nuit noire, disparut.
Je sais que l’impatience est une motivation puissante, mais elle est aussi source d'imprudence. À ce moment précis de son incroyable histoire, le Chevalier Gourmand avait deux possibilités...
[$fleche_1 [[Prendre la potion plus tard->Fin #1]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is 4) [$fleche_1 [[Prendre la potion tout de suite->L'auberge.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $time is 5) [$fleche_1 [[Prendre la potion tout de suite->Fin #2]]<br>](else:)[<nobr>]\
[(display: "Bas de page #1")](set: $alcove = true)\
(set: $time = $time +1)\
Quoi qu’il devait se passer, ce soir, dans cette auberge, l’esprit du Chevalier Gourmand ne serait tranquille qu’en se confrontant à ce personnage mystérieux. C’est donc d’un pas sûr, laissant de coté toute distraction pour l'instant, qu'il se dirigea vers l’alcôve. Mais là, surprise elle était vide. Sur la table, un gobelet et deux pièces de bronze. Où était-il passé ? Il fallait rester calme. C’est donc nonchalamment que le jeune Chevalier retourna à son poste d’observation. Le comptoir était le meilleur endroit pour comprendre ce qui s’était passé en aussi peu de temps. En se concentrant un peu, il trouverait comment avoir plus d'informations. Seulement voilà, il avait déjà perdu beaucoup de temps...
[[Observer attentivement la salle.]]
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[S’approcher du trio sans éveiller les soupçons.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $detournerlattention is false and $approchefrontale is false)[$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $detournerlattention is true and $approchefrontale is false)[ $fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 1)[$fleche_1 [[Observer le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2)[$fleche_1 [[Attraper le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is 2 and $aubergiste is 0) [$fleche_1 [[Informer l'aubergiste à propos du singe.->Conseils aubergiste.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 1)[$fleche_1 [[Observer l'inconnu.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre is 1)[$fleche_1 [[Observer la rue noire.]]<br>](else:)[<nobr>]\
<!-- <b>Ecurie A (il a parlé 1 fois)</b> --!>\
Ce que venait de lui dire le Forestier l'obsédait. Il était convaincu que son destin était lié au sien. Que quelque chose de grand était en train de se mettre en place ! Mais quoi ? Comment le savoir sans une conversation plus poussée ? Tournant les talons pour retourner dans la pièce principale, avec la ferme envie d'entamer un dialogue avec Agreste, un grincement se fit entendre au niveau de la porte d'entrée. Était-ce les 3 compères qui s'en allaient ?<!-- <b>Ecurie B (il n'a pas parlé)</b> --!>\
Les aventuriers allaient rester dans les parages jusqu’à demain. Rien n’était moins sûr avec le forestier. Il était temps de retourner vers l’alcôve et de se lancer. Il fallait lui parler. Mais peut-être était-il prudent, d'abord, de vérifier où en était les 3 compères... Mmmm... Notre jeune ami découvrait là les joies de la prise de décision.<!-- <b>Ecurie C</b> --!>\
Où était passé le Forestier ? Dans quelle chambre étaient installés les 3 lurons ? Quand l'aventure se présenterait à lui, et sous quelle forme ?Il est sans doute raisonnable de laisser notre jeune futur héros se reposer un peu et rêver à tout ce qu’il pourrait peut-être vivre. Il aura bien le temps demain, après un petit déjeuner copieux et pâtissier, de réfléchir à tout cela et d’avaler le contenue de cette petite fiole. Mais cet excès de prudence est peut-être le signe d'un manque, celui d'une volonté profonde de quitter un environnement sécurisant. Si tel est le cas, il est peut-être temps de mettre fin à mon récit. Pour l'instant. Pour l'instant car le Chevalier Gourmand doit, va partir à l’aventure. Il ne le sait pas encore, mais l’avenir des Terres centrales en dépend. Bien sûr, tout cela est une autre histoire… Tout cela sont d’autres histoires. Soyez sans craintes, nous aurons bien le temps d'y revenir.
(if: $image is 1)[ (print: '<img src="' + $imgPath + 'fin-1.jpg" width="100%">')]\
[(display: "Bas de page #1")]Il retourne aux écuries pour voir si le forestier est là. Il n'y a plus son cheval.
<!-- (if: $time is >1) [$fleche_1 [[Observer attentivement la salle.]]<br>](else:)[<nobr>]\ --!>
(if: $time is >1 and $approchefrontale is false) [$fleche_1 [[Aborder le trio frontalement.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $approchefrontale is true) [$fleche_1 [[Observer le conciliabule->Observer le trio.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $singe is >0) [$fleche_1 [[Observer le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre is >0) [$fleche_1 [[Aller regarder par la fenêtre->Observer la rue noire.]]<br>](else:)[<nobr>]\
[(display: "Bas de page #1")]Je vois que vous avez hate de savoir où se trouve l'aventure, tout comme le jeune Chevalier qui ne resista pas à l'envie de retirer tout de suite le petit bouchon de liège. Pop... gloups gloups... Le liquide était sucré, juste ce qu'il faut pour faire séduire les papilles de notre aventurier. Malgré lui ses paupières se fermèrent, son cerveau se mit à chauffer. Puis, lorsque la température de son crane baissa, ouvrant les yeux, il se retrouva accoudé au comptoir de la bruyante auberge en train de terminé un verre de lait fraise, quand son oreille capta une conversation à une table non loin de là. Trois personnages, un peu louches, discutaient à voix basse.
Il existe des millions d’histoires, et je suis sûr que vous avez déjà dû en entendre beaucoup. Nombre d’entre elles commencent par « Il était une fois »… Celle que je vais vous raconter pourrait ne pas échapper à cette règle, mais il se trouve qu’elle commence ainsi :
Il y a fort longtemps… Encore plus longtemps que cela… Vivait, en bordure des terres centrales, un jeune chevalier. Tellement jeune qu’il n’avait pas encore de barbe. Tellement jeune qu’il montait un poney. Tellement jeune que son épée était en bois. Tellement jeune qu’il portait un short en cotte de mailles.
Ce Chevalier avait une marotte. Non, une marotte n’est pas un petit animal poilu. Une marotte est une passion exagérée. Quelque chose dont on ne peut se passer. Et ce Chevalier, ce dont il ne pouvait se passer, c’était les gâteaux. Il aimait les gâteaux. Que dis-je, il adorait les pâtisseries. Que dis-je, il raffolait des biscuits, des meringues, des tartes, des galettes, des gaufres, des crêpes, des éclairs au chocolat, des mille-feuilles, des dix-mille-feuilles, des cents-mille-feuilles… Bref, il était gourmand. Tellement gourmand que tout le royaume l’appelait le Chevalier Gourmand. C’est son histoire que je vais vous raconter.
Tout commença un soir d’été. Alors qu’il terminait un verre de lait fraise, accoudé au comptoir d’une auberge bruyante, son oreille capta une conversation à une table non loin de là. Trois personnages, un peu louches, discutaient à voix basse.
(set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Tout bien considéré, rester à son poste d’observation semblait une bonne idée. Il ne perdait pas de vue les 3 compères, pouvait surveiller le petit singe et son maitre, et agir dès que le larcin aurait lieu. Oui, un bon choix.
Assurant sa décision d’un petit dodelinement de tête d’auto-encouragement - que seul lui pouvait percevoir - le Chevalier Gourmand, installé sur son haut tabouret de comptoir, consolida son assise. Il faut dire que ses pieds, au bout de ses courtes jambes, n’atteignaient pas la petite barre sur laquelle ils étaient supposés reposer. Une bousculade et hop, à lui la cascade. Quoi qu’il en fût, il était parfaitement installé. Ni trop au bord ni trop au fond. La surveillance pouvait commencer.
Il était clair que le baladin avait validé la cible. Il s’en approchait l’air de rien, tirant sur ses cordes et faisant des tourniquets. L’audience était captive. Pourtant, il n’y avait rien d’extraordinaire dans cette chorégraphie pour le moins ridicule. Mais toute la table du bourgeois à la bourse ornée de perles, celle convoitée par le malandrin, était sous le charme. Ils ne perdaient pas une miette du spectacle. Et pendant ce temps, alors que personne n’y prêtait attention, le petit singe avait quitté son poste d’observation, et se glissait à présent sous leur banc. Enfin, personne, le Chevalier Gourmand, lui, avait observé la séquence et il n’était pas dupe. Tout en restant concentré sur la scène, il posa doucement la main sur la garde de son arme. Prêt à bondir.
Le musicien se trouvait maintenant à quelques centimètres de sa victime, comme s’il ne jouait que pour lui. Ernest était bien l’un des seuls à ne pas le fixer, son attention était ailleurs. Son regard portait dans l’ombre sous le siège. Lorsqu’un scintillement l’alerta. L’animal venait de dérober la bourse. C’était certain. Les reflets de perles ne trompaient pas. Ils passaient de sous une table à une autre. Il fallait agir.
[[Prévenir la salle du vol.->Dénoncer le vol.]]
[[Suivre le déplacement du singe.->Suivre le singe.]]Il attrape le singe et le voleur est conduit en prison mais il est passé à coté de l'aventure. il est trop prêt et tombe sous le charme(set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Aucune hésitation à avoir. Dans un élan dont l’assurance n’avait pour équivalence que la volonté de bien faire, le Chevalier Gourmand, d’un coup de rein énergique, bondit de son tabouret et se retrouva debout sur la table la plus proche. Dégainant son épée, il pointait le plafond en hurlant, pour un effet dramatique, « Hahaha, tu es fait ! ». Et de rajouter devant la surprise générale « Là, un voleur ! ».
Tandis qu’une partie de la salle vérifiait sa ceinture afin de s’assurer ne pas être la victime, l’autre se mit à chercher le coupable. Malheureusement, avant que quiconque eut l’idée de regarder sous les tables, deux clients s’empoignaient déjà.
- Rend moi ça immédiatement sale voleur ! beuglait l’un.
- Lâche moi tout de suite où tu vas avoir des ennuies ! répondait l’autre.
- Laisse le tranquille, renchérissait un troisième…
Une oreille avisée aurait tout de suite remarqué que le troubadour avait instantanément changé d’air. Sa mélodie était plus agressive. Et plus il jouait fort, plus les clients s’embrouillaient entre eux. C’est alors que le Chevalier Gourmand senti une pression sur ses chevilles. Comme si quelqu’un voulait le bloquer. Surpris, mais néanmoins lucide, notre apprenti héros devait prioriser. Et vite. Il fallait choisir.
[[Accuser le musicien.->Dénoncer le musicien.]]
[[S'inquiéter de ses chevilles.->S'inquiéter de ses chevilles.]](set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
(si passer par les écuries, il sait que le singe va aller là bas, sinon il le perd…)
Le singe se glisse vers les écuries pour ranger son butin, contact et il découvre que c’est une fille prisonnière d’un charme.
(set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Malgré son jeune âge, le Chevalier Gourmand avait de l’instinct et de l’à-propos. Il avait parfaitement compris ce qui était en train de se passer. Le musicien envoutait son auditoire avec son instrument de musique. Il charmait ceux et celles qui l’écoutaient pour en tirer profit. Il détournait leur attention pour les voler. Et maintenant que son petit jeu était éventé, que sa mascarade allait tourner court, il poussait à la bagarre générale afin de se faufiler tranquillement vers la sortie. Probablement pour rejoindre son complice. Il était hors de question de laisser-faire. Non mais. Enfin, « non mais », encore fallait-il qu’il puisse faire quoi que ce soit. Je vous rappelle que quelqu'un ou quelque chose venait de l'attraper par les chevilles.
(if: $forestier > 2 )
[
Son premier réflexe fut de regarder du côté de l’alcôve. Au fond de lui, il savait que le Forestier ne pouvait laisser un être humain exploiter ainsi un animal en lui faisant commettre de pareils délits. En l’interpellant, il allait trouver là un allié. C’est certain.
Agreste, criât-il - car la foule devenait de plus en plus bruyante - , là, le musicien !
Malheureusement, sa phrase à peine terminée, le constat fut sans appel. Le coin sombre était vide. Agreste n’était plus là. Il avait fuit. Comment cela était-il possible ?
]
Dans la salle, le chaos commençait à régner. Le chaos, dans la mythologie, c’est un « Espace immense indifférencié préexistant à toutes choses, et notamment à la lumière. ». Oui, vous n’avez rien compris, et moi non plus, mais en gros, et à notre époque, le chaos, c’est le bazar. Et dans l’auberge, c’était le bazar. Les clients s’invectivaient, s’attrapaient par le col et se menaçaient. Un brouhaha immense était en train de monter. Le Chevalier Gourmand n’avait plus d’autre solution que d’arranger la foule en espérant que quelqu’un d’assez conscient et courageux l’entendrait et arrêterait le brigand.
- Le musicien, il faut arrêter le musicien ! s’égosillait-il.
Malheureusement pour lui sa voix fluette ne portait pas suffisamment. Elle s’écrasait contre le mur sonore créé par les altercations. D’autant plus que la plupart des clients étaient maintenant debout, en train de se chamailler. Il ne voyait plus que des visages déformer par la colère dans un nuage de postillons. Il en perdait de vue le vil voleur qui en profitait pour décamper sans être inquiété.
C’est alors qu’une chose étonnante se produisit. Le Chevalier Gourmand entra en lévitation. Oui. Il sentit ses pieds décoller. Il ne touchait plus la table. Il montait dans les airs ! Le voilà maintenant surplombant la foule. C’était magique ! Une opportunité magique de remettre la main, enfin l’oeil, sur le musicien. Mais, notre jeune héros se demandait bien comment une telle chose était possible. S’il ne s’agissait pas de magie, il allait probablement lui arriver des bricoles…
[[Chercher le musicien.->Chercher le musicien.]]
[[Comprendre le phénomène de lévitation.->La lévitation.]](set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Il est clair que le moment était mal choisi pour se laisser entraver. Avant de poursuivre quelque but que ce soit, surtout aux vues de la délicate situation, il fallait avoir une certaine liberté de mouvement. Le Chevalier Gourmand porta donc son attention à ce qui se passait au niveau de ses pieds. Quel ne fut pas sa surprise de voir l’Aubergiste, un homme d’habitude à la gentillesse débordante, sourcils froncés, bouche ouverte et dents dehors en train de lui empoigner les chevilles. Manifestement, il avait l’air contrarié !
- Boudiou de sacrebleu, mais qu’est ce que tu fais tu donc les pieds sur ma table ! Postillonnât le gargotier. Veux tu bien descendre immédiatement avant que je te flanque dehors.
Ce qui surprit le Chevalier Gourmand n’était pas la menace, ni même la colère. Non. Ce qui le surprenait le plus était le tutoiement. C’était bien la première fois que le tenancier osait lui parler ainsi. Cet homme n’était plus lui même. Vraiment. En temps normal, jamais il n’aurait tutoyé un membre de sa famille. Quelque chose ne tournait vraiment pas rond. ll fallait régler ce problème. Mais comment ?
[[Tenter de lui parler.->Amadouer l'Aubergiste #1.]]
[[Tenter de l'assomer avec l'épée.->Assommer l'Aubergiste.]](set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Il le voit sortir par les écuries..., l'alcove est vide, Agreste va l'assomer et l'attacher, la musique s'aréttant tout rentre dans l'ordre...(set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Il comprend que c'est l'aubergiste qui le soulève en étant très en colère. Il perd de vu le musicien.
[[Tenter de lui parler.->Amadouer l'Aubergiste #1.]]
[[Tenter de l'assomer avec l'épée.->Assommer l'Aubergiste.]](set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
(set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
(set: $forestier = 3)\
La violence ne résout jamais rien lui avait-on expliqué. Mais que pouvait-il faire d’autre ? Les circonstances ne lui laissaient guère le choix. L’heure était grave. Il n’avait pas le temps de faire dans la négociation. La décision était d’autant plus facile à prendre qu’il avait son épée à la main et qu’un bon coup avec le plat de son arme n’allait pas blesser, mais seulement assommer. Enfin, c’est certainement ce que le Chevalier Gourmand espérait à cet instant précis. De toute façon, c’était trop tard. Une petite voix lui avait dit de tenter d’assommer, il allait donc tenter d’assommer.
Ce n’est pas sans appréhension que notre jeune héros abaissa son épée de bois vers le crâne chauve et luisant de l’aubergiste. Comme si au fond de lui il voulait retenir le coup. D’aucuns auraient pu dire le maitriser. Mais pour qui eut à ce moment congru la présence d’esprit de fixer le visage de l’apprenti combattant, la chose était claire. Ses yeux étaient fermés, comme pour ne pas voir ce qui allait se passer. Il ne maitrisait rien du tout !
(if: $forestier > 2 )[
L’impact ne produisit quasiment aucun son. Peut-être avait-il été couvert par le capharnaüm qui régnait tout autour de la scène. Quoi qu’il en soit, le coup était porté et bien porté. L’aubergiste lâcha prise et s’écroulât de tout son saoul. D’un seul coup d’un seul, il l’avait assommé. Incroyable.
]
(else:)[
Il doit frapper plusieurs coups et au dernier l’aubergiste reprend ses esprits et le lâche.
]
Ainsi libéré, il pouvait vaquer à nouveau. « Vaquer » ne veut pas dire imiter la vache. Non. Ce n'était pas vraiment le moment. Cela veut dire qu’il pouvait reprendre son activité. Oui. Mais laquelle ?
[[Tenter de voir le musicien.->Chercher le musicien #2.]]
[[Tenter de voir le singe.->Chercher le singe.]]Double-click this passage to edit it.Double-click this passage to edit it.Le singe a disparu. le musicien a disparu. La musique s'arette et tout semble rentrer dans l'ordre. Plop(set: $singe = $singe + 1)\
(set: $time = $time +1)\
Il l'a perdu de vue, il ne sait pas où il est, mais la musique c'est stoppé et tout se mets à rentrer dans l'ordre.(if: $pubs is 1)[(display: "Pubs #1")]\
<a href="https://www.choseforthem.com">🏠</a><span class="small-text"> | Titre : "Le Chevalier Gourmand" | Artistic direction : Chose for them | Images : IA Inside (ChatGPT) | Texts : A little piece of human brain !</span>Dites, cela fait 2 fois que vous prenez la potion et que vous faites exactement les mêmes choix, ce n'est pas comme ça que vous allez vivre une aventure palpitante ! Le bureau des scénarios attends des résultats plus probants et moi aussi.
Bon, rompez, retournez dans vos appartements en attendant que l'on statut sur votre sort...
(if: $pubs is 1)[(display: "Pubs #1")]\
[(display: "Bas de page #1")](set: $time = $time +1)\
(set: $histoire = $histoire + 1)\
Le doute(set: $time = $time +1)\
La curiosité est une force contre laquelle il est difficile de lutter, surtout lorsque l'on est très jeune et inexpérimenté. L'apprenti chevalier tenta donc le tout pour le tout afin de se rapprocher et d'entendre la conversation entre les trois filous. Les mots qu'il perçut le laissèrent pantois. Écoutez plutôt...
- Il est fou ce type. Il n’est pas bien dans sa tête. Dis le premier, celui au gros nez rouge.
- Il a une imagination débordante. Dis le second en souriant.
- Je crois que nous avons là un beau pigeon. Je vous propose d’en rigoler. Dis le dernier à la cicatrice.
- Oui, tu as raison, j’en ai soupé des Chevaliers et de leur recherche de gloire. Enchaina celui au gros nez rouge.
- Je crois qu’il est prêt à gober n’importe quoi. Rajouta celui au visage souriant.
- Je crois aussi. Le dernier Chevalier que nous avons servi nous a fait marcher des centaines de kilomètres, vengeons-nous un peu en le faisant marcher à son tour. Conclus celui à la cicatrice.
Oui, ils parlaient bien de lui. Ces mots étaient difficile à entendre, au sens propre comme au figuré. Ce n'était absolument pas des aventuriers, juste de vieux soldats fatigués n'ayant qu'une seule intention, celle de lui jouer un tour. Ce petit coup au moral laissa notre jeune ami perplexe. Cela lui servira de leçon. En effet, à trop vouloir l'aventure l'on risque parfois de s'inventer des histoires. Se noyant dans ses pensées, il ne reprit ses esprits qu'à l'heure d'aller se coucher. Enfin, c'était finalement une bonne chose que d'écouter discrètement, il aura évité les ennuis.
Mais une question demeurait. Comment cela aurait-il finit s'il n'avait pas entendu les propos du trio ? Dans quelles turpitudes aurait-il plongé ? Nul ne le saura jamais, mais une chose est sûre, le Chevalier gourmant trouvera un autre moyen d'affronter son destin.
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Sage décision, il serait malheureux de saborder une aventure en jouant les indiscrets. Se faire surprendre l'oeille tendue pourrait froisser le trio. Après tout, patienter en mangeant des madeleines est un doux plaisir, alors autant en profiter.
Le jeune chevalier déposa une seconde madeleine dans sa bouche lorsque les 3 gaillards rompirent la mêlée et lui firent signe de venir.
$fleche_1 [[Répondre à leur signe en s'approchant.]]
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[(display: "Un peu d'histoire.")]
Le jeune chevalier déposa une seconde madeleine dans sa bouche lorsque les 3 gaillards rompirent la mêlée et lui firent signe de venir.
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C'est à ce moment précis qu'un grand fracas se fit entendre à l'extérieur...
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C'est à ce moment précis que le petit singe
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C'est à ce moment précis que l'inconnu...
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C'est à cet instant précis que notre héros fût pris d'un léger doute. Quelque chose dans le regard de ce balafré venait de provoquer l'étincelle de la suspicion.
] \
(if: $forestier is 0 and $singe is 0 and $ombre is 0 and $detournerlattention is true)[$fleche_1 [[analyser le doute.->doute.]]<br>](else:)[<nobr>]\
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(if: $singe is 1)[$fleche_1 [[Observer le singe.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $forestier is 1 or $forestier is 2)[$fleche_1 [[Observer l'inconnu.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre > 0)[$fleche_1 [[Aller regarder par la fenêtre.->Observer la rue noire.]]<br>](else:)[<nobr>]\
(if: $ombre is 0 and $ecurie is true )[$fleche_1 [[Regarder rapidement vers la porte.->Observer attentivement la salle.]]<br>](else:)[<nobr>]\
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